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Une histoire, on la trouve (souvent même on la cherche !), on lui demande de rester, on la met sous son aile, et là on mûrit, on travaille du chapeau. En somme, l’histoire, on la polit, on la digère et on la dit.
Il y a des histoires qui s’imposent dans une espèce de fulgurance. Selon son cheminement personnel, son ancrage, son héritage, son bagage, on finit par rencontrer celles qu’on aimera raconter. Alors commence le plaisir de l’habillage, (...)
Une histoire, on la trouve (souvent même on la cherche !), on lui demande de rester, on la met sous son aile, et là on mûrit, on travaille du chapeau. En somme, l’histoire, on la polit, on la digère et on la dit.
Il y a des histoires qui s’imposent dans une espèce de fulgurance. Selon son cheminement personnel, son ancrage, son héritage, son bagage, on finit par rencontrer celles qu’on aimera raconter. Alors commence le plaisir de l’habillage, l’exigence du mot juste car l’histoire se présente parfois dans son plus simple appareil. Devant le public, on lui gardera sa pudeur, sa fraîcheur en dosant comme il faut l’art de l’effeuillage.
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